Entre mer et montagne
Les 18 patrimoines à découvrir
- Art
Aquarelle "La rue du soleil" (Charles Rennie Mackintosh)
Cette aquarelle représente la rue du soleil qui se trouve de l’autre côté de la baie. Cette rue située au-dessus du Quai du Fanal est une des plus anciennes de Port-Vendres
De nos jours sur le Quai du Fanal accostent les bateaux de la SNSM, des pilotes du port, des Douanes et de pêcheurs.
Interprétation de l’œuvre : Reflets de maisons dans l’eau….(Source : http://www.crmackintoshroussillon.com/
- Club de Plongée sous-marine
Scuba Passion
- Art
Aquarelle "The Lighthouse" (Charles Rennie Mackintosh)
Cette aquarelle représente en premier plan une portion de la route de la jetée où a été réalisée l’œuvre en regardant vers l’autre côté du plan d’eau où se trouve le Fort Fanal.
En haut de l’œuvre et occupant une grande partie du tableau est représenté le fort Fanal et son phare.
Le fort fanal se trouve donc de l’autre côté de la baie à l’extrémité de l’Anse Gerbal sur un petit promontoire situé à la sortie du port.
L’environnement du fort a complétement changé.
Situées à proximité de la mer, les redoutes participaient autrefois à la défense du port de Port-Vendres, chacune possédant un équipement militaire particulier.
Celles de Béar et du fanal construites entre 1673 et 1700 sont l’œuvre de Vauban. Elles sont inscrites à l’inventaire des monuments historiques depuis le 6 juin 1933.
Au milieu de la redoute du Fort Fanal s’élève une tour blanche : « the Lighthouse » avec à son sommet une lanterne verte (située à tribord qui marque ainsi l’entrée du port).
Actuellement le phare est entièrement automatisé (plus de gardien à demeure) et est équipé de lentilles de type Fresnel. La lampe halogène blanche a été remplacée par une LED verte
Un fanal existait déjà à cet emplacement avant la construction de la redoute (il apparait sur une carte datant de 1650). En 1943 l’armée d’occupation Allemande a bétonné une partie des ouvrages et en particulier obturé les créneaux. Le monument « Redoute du Fanal de Port-Vendres » est propriété de l’état (Phares et Balises). Il fait partie du recensement des immeubles Monuments Historiques en tant qu’ouvrage fortifié. (Source : http://www.crmackintoshroussillon.com/)
- Histoire
Redoute Béar
De par sa position stratégique maritime et sa proximité avec des frontières historiques, Port-Vendres a fait l'objet de beaucoup d'attention de la part des bâtisseurs militaires. Le tournant historique de la ville se situe aux alentours de 1659, lorsqu'après le Traité des Pyrénées, le Roi Louis XIV charge Vauban de faire de "Port-Vendres" un port de guerre. Montez jusqu'à la Redoute Béar construite au 18ème siècle selon les plans de Vauban et plongez-vous dans l’histoire. - Art
Aquarelle "The Road Through The Rocks" (Charles Rennie Mackintosh)
Nous regardons vers le Nord-Est. Sur l’aquarelle, à droite, est représentée la tranchée où passe la route taillée dans le roc ; au centre, au sommet de la petite colline, la face Nord- Est du fort Mailly. On y distingue la porte d’entrée du fort et son chemin d’accès.
Lorsque C.R. Mackintosh a réalisé son œuvre, le fort n’était pas en ruine comme il l’est actuellement.
Devant le fort Mailly on peut voir une partie de l’Anse Christine où a été construit depuis, un restaurant « Le Poisson Rouge ».
Comme son nom l’indique la redoute Mailly a été réalisée par le maréchal De Mailly entre 1772 et 1789 sous le règne de Louis XVI. Elle était équipée comme la redoute Béar de canons à barbettes. La redoute a été remaniée en 1858 dans le cadre de la réalisation de la ligne de défense créée dans la région au XIX siècle (Port-Vendres ayant été déclaré port militaire en 1846) ; puis plus récemment dans les années 1940-1944 par l’armée d’occupation Allemande. Une explosion la souffla au départ des troupes allemandes le 19 aout 1944. Restée en ruines, celle-ci appartient à la commune de Port-Vendres. (Source :http://www.crmackintoshroussillon.com/)
- Art
Aquarelle "The Fort" (Charles Rennie Mackintosh)
Le lieu où a été peint l’aquarelle surplombe la petite colline où se trouve le fort Mailly.
Nous regardons vers le Nord-Nord-Est. L’aquarelle représente, au centre, la petite colline couronnée par le fort Mailly. A droite, on observe une brèche taillée dans le roc qui a été creusée pour construire une route et qui mène au môle-abri.
En bas à gauche, une vue plongeante sur une partie de l’anse Christine (où a été construit depuis un petit restaurant les pieds dans l’eau : « Le Poisson Rouge »).
Et enfin, en haut à gauche, une représentation du fort Fanal, invisible en réalité depuis cet endroit.
A l’horizon sur la gauche, est représentée la Côte Radieuse qui s’étend au Nord de la Côte Vermeille.
Comme son nom l’indique la redoute Mailly a été réalisée par le maréchal De Mailly entre 1772 et 1789 sous le règne de Louis XVI. Elle était équipée comme la redoute Béar de canons à barbettes. La redoute a été remaniée en 1858 dans le cadre de la réalisation de la ligne de défense créée dans la région au XIX siècle (Port-Vendres ayant été déclaré port militaire en 1846) ; puis plus récemment dans les années 1940-1944 par l’armée d’occupation Allemande. Une explosion la souffla au départ des troupes Allemandes le 19 aout 1944. Restée en ruines, celle-ci appartient à la commune de Port-Vendres.(Source : http://www.crmackintoshroussillon.com/)
- Art
Aquarelle "The Rock" (Charles Rennie Mackintosh)
Cette aquarelle représente au premier plan un rocher et au deuxième plan, sur la rive opposée de la baie, le quai du Fanal et une partie de l’Anse Gerbal.
A l’époque l’anse n’était pas bétonnée et les pêcheurs y tiraient leurs barques.
- Art
Aquarelle "The Fort Mailly" (Charles Rennie Mackintosh)
Cette aquarelle représente la face Nord-Nord-Est du fort Mailly. Lorsque C.R. Mackintosh a réalisé son œuvre, le fort n’était pas en ruine comme il l’est actuellement.
Comme son nom l’indique, la redoute Mailly a été réalisée par le maréchal de Mailly entre 1772 et 1789 sous le règne de Louis XVI. Elle était équipée comme la redoute Béar de canons à barbettes. Celle-ci a été remaniée en 1858 dans le cadre de la réalisation de la ligne de défense créée dans la région au XIX siècle (Port-Vendres ayant été déclaré port militaire en 1846), puis plus récemment dans les années 1940-1944 par l’armée d’occupation Allemande. Une explosion la souffla au départ des troupes Allemands le 19 aout 1944. Elle est restée en ruines. Celle-ci appartient à la commune de Port-Vendres. (Source http://www.crmackintoshroussillon.com/)
- Patrimoine historique majeur
Phare de la Jetée
Ayant supporté les intempéries jusqu’à présent, le phare métallique de la Jetée de Port-Vendres a fonctionné bravement 110 ans. Cependant les dernières tempêtes l’ont quelques peu abimé, notamment son escalier en colimaçon, supprimé depuis du fait de l’automatisation de la lanterne. Inscrit aux monuments historiques depuis 2011, allez le voir avant que la mer ne l’emporte !
- Art
Aquarelle "Port-Vendres" (Charles Rennie Mackintosh)
Cette aquarelle représente sur la gauche la partie de la route taillée dans le roc, faisant une brèche dans la colline. Au centre, au premier plan et au sommet de la colline, la face Sud-Ouest du fort Mailly. Au fond, on aperçoit la ville de Port-Vendres située de l’autre côté de la rade sur la rive Nord-Ouest et enfin à droite une portion de l’Anse Mailly.
Le fort est daté du XVII siècle. Lorsque C.R. Mackintosh a réalisé son œuvre, le fort n’était pas en ruine comme il l’est actuellement (voir la station Fort Mailly N° 2).
Ce support est placé au niveau de la route d’où on peut apercevoir Port-Vendres. L’artiste, pour réaliser cette œuvre, s’était certainement positionné un peu au-dessus de la route sur la petite colline située au Nord-Nord Est de l’Anse Mailly.
- Point de vue
La Jetée de Port-Vendres
Point de vue de la Jetée de Port-Vendres sur la route du Cap Béar - Patrimoine historique majeur
Fort Béar
Construit entre 1877 et 1880, le Fort Béar fut bâti dans le but de verrouiller les frontières et de remplacer les fortifications de Vauban par des forts polygonaux enterrés. Ce fort a été utilisé jusqu'au milieu du XXème siècle, époque durant laquelle fut installée une station radio après l'occupation allemande (1949). Il est à présent propriété de l'Armée.
- Point de vue
Anse Ste Catherine
Cette petite crique de galets méconnue est surtout fréquentée par les maisons voisines. Le cadre est paradisiaque et la vue grandiose sur le sud de la Côte Vermeille. Située en contrebas du phare qui ponctue le Cap Béar, cette plage se niche entre les rochers pour mieux offrir ses eaux turquoise. Site réputé pour la plongée sous-marine, il offre une merveilleuse vue sur le grand bleu. - Point de vue
Plage Bernardi
Crique incontournable de la Côte Vermeille, la plage Bernardi est située dans la baie de Paulilles, au sud du Cap Béar. Vous y trouverez le calme, les eaux turquoises et une magnifique vue sur le Massif des Albères. N’hésitez pas à tester des activités nautiques en saison comme des randonnées en paddle ou en kayak. - Patrimoine historique majeur
Plage de l'Usine
Nichée entre le Cap Béar et le Cap Oullestrell, tous deux sites classés, l'anse de Paulilles renferme trois belles plages séparées par des promontoires rocheux dont la plage del Mitg (de l'Usine). En novembre 1870, Paul Barbe achète des terrains dans la vallée de Paulilles et fait construire une dynamiterie, qui sera délocalisé en 1984 à Rivesaltes. La friche industrielle, racheté par le Conservatoire du Littoral est réhabilitée et permet la préservation la faune et la flore propre au site.
- Point de vue
Vigie Site de Paulilles
Point de vue Site de Paulilles depuis le haut de la vigie - Patrimoine historique majeur
Chapelle de Cosprons
L'histoire de Sainte-Marie de Cosprons est mal connue car elle n'est pas citée dans des documents anciens. Elle semble avoir été bâtie à la fin du xiie siècle ou au xiiie siècle.
Une légende attribue la construction de Sainte-Marie de Cosprons à un animal, comme beaucoup d'autres dans la région. Dans ce cas, il s'agit d'un âne.
Un pêcheur de la baie de Paulilles remonta dans ses filets un Christ en Croix. Il chargea cette découverte sur son âne pour la ramener à son village. Mais, arrivé au village, l'âne poursuivit son chemin jusqu'en haut d'une colline, où il finit par s'arrêter.
Ensuite, l'âne refusa de bouger de cet endroit, ce qui fut interprété comme un signe divin. Les villageois construisirent l'église Sainte-Marie en ce lieu, puis le village de Cosprons se développa autour d'elle.
Elle a été plusieurs fois remaniée et agrandie.Au XVIIe siècle, les habitants de Port-Vendres venaient en procession chercher la statue de Christ en croix de Sainte-Marie de Cosprons, notamment afin d'attirer la pluie.
Différents objets mobiliers de l'église ont été protégés au titre des monuments historiques: une statue de Christ en croix en bois du xive siècle (ou xiie siècle) est classée en 1913, une porte en bois et fer forgé datée de 1784 classée en 1959 et une clochette du XIVe siècle en 1976. Le Christ avait été restauré au XVIIe siècle et repeint au XIXe siècle
L'église est l'objet d'une rénovation complète qui débute en 2011. Ils consistent d'abord à une mise hors d'eau de la chapelle dont la toiture était endommagée, puis en une rénovation de l'intérieur afin d'en faire une salle de spectacles. Les travaux s'achèvent début 2013.
- Art
Fenouil et Fenouille
Cette statue réalisée par le sculpteur Gérard Vié en 1998 a été posée le 24 décembre 1999. Ce n'est cependant pas la statue d'origine.
En effet, en 1901, pour décorer la place de la Castellane, Jules Pams, député influent des Pyrénées Orientales, obtient du Ministre des Beaux-Arts de l’époque le don à la ville de Port-Vendres d’une statue représentant un couple d’amoureux, “l’Idylle”réalisée par le sculpteur Jean Ossaye Mombur.
Plus d'infos
Description
Départ : Office de Tourisme de Port-Vendres. Prendre la direction de la Jetée, contourner le port en suivant le balisage du sentier du littoral
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Arrivé à l’anse de la jetée, prendre à droite le chemin qui monte en direction du Fort Béar. Basculer après le défilé de rocher sur le sentier jusqu’au chemin des vignes.
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Suivre le sentier vers la gauche.
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Continuer jusqu'à la plage Bernadi, traverser la pour rejoindre la deuxième plage (plage de Paulilles).
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A fond de la plage, à droite passer sous un petit pont , puis traverser le site de Paulilles (non balisé jusqu'au parking de Paulilles). Passer le tunnel, longer le parking et prendre un petit chemin sur la gauche, passer sous le pont tourner à droite . Après 300 m prendre le chemin du Col del Mitg qui monte jusqu’à la D86a et au village de Cosprons.
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Tourner à droite (pont) en direction du Coll de Perdiguer.
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Prendre le chemin des muletiers.
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Partir à droite puis descendre sur la gauche.
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Continuer tout droit.
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Traverser le tunnel et continuer en direction de la gare.
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Après la gare tourner à gauche sur Route Stratégique en direction du centre-ville, traverser la place Castellane descendre les escaliers pour arriver devant l’Office de Tourisme.
- Départ : Bureau d'Information Touristique de Port-Vendres
- Arrivée : Bureau d'Information Touristique de Port-Vendres
- Communes traversées : PORT-VENDRES
Profil altimétrique
Recommandations
Transport
Accès routiers et parkings
Stationnement :